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En Avant, Marx!
12 janvier 2024

Cinq différences essentielles entre l’époque de Marx et la nôtre: une suite "écologique" au débat!

 

 

 

 

 

 

 

 L'"écologisme",

 

 

"un joujou extra

 

qui fait crac boum hue!",

 

 

ou simplement

 

"flop!"???

 

Eléments d'un débat, suite à republication sur VLR de:

 

Cinq différences essentielles entre l'époque de Marx et la nôtre (Nouvelle édition)

http://cieldefrance.eklablog.com/cinq-differences-essentielles-entre-l-epoque-de-marx-et-la-notre-nouve-a215228819

sur VLR:  https://mai68.org/spip2/spip.php?article17249

 

 

  • Une autre grande différence est illustrée par cette image, le techno-capitalisme est en train de niquer le vivant. Même cette image est trompeuse car on n’y voit que des restes de gros végétaux et un gros singe, alors que des groupes entiers du vivant sont en train de s’effondrer à toute vitesse, le dernier en date est les insectes.

    Car pour le techno-capitalisme, toute espèce qui n’est pas exploitée est une espèce en voie de disparition. Ils en sont à vouloir remplacer les fermes et les élevages par des laboratoire en béton et les ouvriers par des machines.

    Clic clic clic clic clic

    Bip bip bip

    JPEG - 150.4 ko

    Répondre à ce message

  • Dernière différence et c’est peut-être ce qui va permettre de sauver un peu de la part du vivant qui n’a pas encore été exterminée, c’est que tout le techno-capitalisme repose sur un extractivisme forcené que la transition écologique par le business as usual ne fait que relancer de plus belle.

    Il ne faut pas non plus oublier que le seul secteur militaro-industriel utilise à lui seul plus de la moitié de ces ressources non renouvelables.

    Hé oui, toutes ses ressources extraites de force de la Terre ne sont pas inépuisables. Donc nous n’avons pas fini de nous entre-tuer pour leur contrôle, bien au contraire même. Reste à voir jusqu’où ces tueries de masse iront… Dans l’hypothèse où on réussi à le faire sans hiver nucléaire et donc qu’il reste des survivants le jour où l’état des stocks de matières premières nécessaires à la guerre et donc à la perpétuation du techno-capitalisme et de ses aficionados capitalistes et marxistes, il restera peut-être des coins vivables sur la planète. Mais à voir comme c’est parti, rien n’est moins sur.

    Rousseau disait, de mémoire, que la civilisation est l’art de créer des problèmes qu’elle ne peut pas résoudre.

    Clic clic clic clic clic

    et aussi

    Boum boum boum boum boum

    Bip bip bip

    Couic !

    Répondre à ce message

 

 

 

Prévisualisation
    • par Luniterre

       

       

      Ton problème, Dominique, comme celui de tout « écologiste » est celui de prétendre « défendre la nature », et/ou, dans ton cas notamment « défendre le vivant ». 

      La question est : contre quoi ? Tu penses avoir « identifié » un ennemi, qui est tantôt ce que tu baptises « techno-capitalisme », et souvent, plus « radicalement », en apparence, la « civilisation ».

      Comme tout « écologiste » tu prétends donc remettre en cause le rapport entre l’humain et la nature.

      Et tu finis par résumer le tout par une suite d’onomatopées :

      « Clic clic clic clic clic 

      et aussi

      Boum boum boum boum boum

      Bip bip bip

      Couic ! » 

      Ce que tu oublies simplement, comme quasiment tous les « écologistes » qui prétendent remettre en cause la relation « homme-nature », c’est tout simplement et précisément le principe de sélection qui a amené l’humain sur la planète Terre, tout comme il a vraisemblablement amené d’autres espèces plus ou moins « évoluées » sur d’autres planètes, sur d’autres galaxies, éventuellement.

      Et ce « principe de sélection » commence, en quelque sorte, partout dans l’univers, et tel qu’encore encore aujourd’hui sur Terre, par une autre « onomatopée » :

      « Big Bang » !!! 

      Toute l’énergie que nous dissipons, « consommons » et/ou « gaspillons » a été initialement « distribuée » dès cet instant, selon le principe de « conservation » de l’énergie que nous avons tous « appris » au collège dès nos premiers cours de physique, et « oublié » aussitôt après en entendant parler partout de « consommation d’énergie »….

      L’énergie étant une constante, on ne peut donc en aucune façon la « consommer ». La vie, sur Terre comme ailleurs, consomme donc zéro énergie : elle se contente de dissiper celle qu’elle a réussi à « stocker », dans son organisme, et à échelle sociale « humaine », dans la société. 

      Le premier principe étant celui de la conservation de l’énergie initiale totale, le second, en très symboliquement résumé, est celui de sa dissipation dans l’univers, à mesure de son expansion. Une dissipation assez rapidement « inégale », « anisotropique », pour faire chic, dès +380 000 « ans » après le dit « Big Bang », selon notre « échelle du temps », c’est-à-dire un « clin d’œil », à l’échelle de l’histoire de l’univers. (*)

      « Anisotropie » et « dissipation » qui se « développent », au sens de l’évolution de l’univers et donc aussi, du « vivant », selon le second principe, celui qui définit l’entropie. 

      L’entropie, c’est donc à la fois la vie et la mort : le « vivant », comme toutes les autres structures se formant dans l’univers, ne stocke de la matière et de l’énergie que pour « mieux » la dissiper, in fine, ce qui est le guide, tropisme essentiel, de la sélection « darwinienne » également :

      L’humain arrive au sommet de la « pyramide du vivant » simplement parce qu’il est de loin le plus efficace en matière de stockage et surtout, donc, de dissipation d’énergie. 

      La « civilisation », avec malheureusement tous ses « défauts » est le moyen par lequel l’humain suit le tropisme pour lequel il a simplement et tout à fait naturellement été « sélectionné » : dissiper de l’énergie… 

      Comme tout phénomène « cosmique », l’humain n’existe, à son échelle locale, que comme l’un des facteurs de l’entropie générale. 

      Le phénomène humain n’est en quelque sorte que l’un des passagers plus ou moins furtifs, selon les cas, du mouvement général de l’entropie, tout comme les étoiles, les galaxies, etc… 

      Il ne peut donc, tout au plus, qu’« aménager » son passage, en utilisant son « libre arbitre » qui n’est, au départ, que l’un des facteurs de sa « sélection naturelle », lui permettant d’ « inventer » des stratégies et des techniques ad-hoc.

      Au lieu de mettre sa conscience et son libre-arbitre au service de son « instinct entropique » précisément tout à fait naturel de stockeur-dissipateur d’énergie, il pourrait donc, par un « sursaut » réellement « révolutionnaire » le mettre au service d’un « aménagement » relatif de son environnement qui lui permette en quelque sorte de « ralentir » son impact entropique, en vue de prolonger son existence en tant qu’espèce, et pourquoi pas, au passage, celle de quelques autres, mais en faisant cela il ne « défendra » en rien du tout la nature : au contraire, il mettra simplement un frein très provisoire, à l’échelle du cosmos, à son évolution naturelle locale entropique, dans son petit racoin de l’univers. 

      Une sorte de « contre-courant » local, en somme, comme il s’en produit parfois près des berges d’un fleuve, mais qui ne contredira évidemment en rien le sens général du courant.

      Un point qui nous mettra, je le suppose, d’accord pour une fois : pour l’instant, le courant général de l’entropie est fort bien suivi, sinon carrément « accéléré », du côté de Gaza, par exemple, par la société humaine actuelle ! 

      Luniterre

      (*https://www.ca-se-passe-la-haut.fr/2013/09/lanisotropie-du-fond-diffus-cosmologique.html

      En doc PDF :

      https://ekladata.com/_S64h2PwoFdcn8h3bnMV0Oa3joA/Anisotropie-du-Fond-Diffus-Cosmologique.pdf )

       

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http://cieldefrance.eklablog.com/cinq-differences-essentielles-entre-l-epoque-de-marx-et-la-notre-une-s-a215260735

 

 

 

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L'Anisotropie du Fond Diffus Cosmologique

  dimanche 22 septembre 2013

Deux anomalies du fond diffus cosmologique observées par le prédécesseur du satellite Planck, WMAP, ont été confirmées au printemps dernier par les données de Planck, excluant de fait un biais de mesure. 

  

L'une d'elle est une asymétrie de la température moyenne dans les hémisphères opposés du ciel (indiqués par la ligne courbe sur la figure ci-dessous, où les anomalies sont renforcées par la coloration rouge-bleu pour les rendre mieux visibles). Les températures sont légèrement plus élevées au sud de l'écliptique qu'au nord. Cela va à l'encontre des prédictions du modèle standard cosmologique qui dit que le fond diffus doit être homogène et isotrope. La seconde anomalie visible dans les données de WMAP et de Planck est un point froid qui s'étend sur une zone du ciel de l'hémisphère sud bien plus importante qu'une simple fluctuation (zone entourée ci-dessous). 

  

  

 Carte du CMB (ESA/Planck Collaboration)

 

Le rayonnement diffus cosmologique (CMB en anglais), est l'une des meilleures sondes pour explorer les très grandes structures de l'Univers. D'après le modèle de Big Bang actuelle, le fond diffus cosmologique est apparu lorsque la soupe primordiale s'est suffisamment refroidie dans l'expansion pour que les protons et les électrons puissent se combiner pour former des atomes d'hydrogène neutre et ainsi "libérer" les photons. C'était 380000 ans après l'instant initial. Si l'Univers était parfaitement homogène et isotrope, le CMB serait exactement identique partout dans toutes les directions du ciel. Mais il n'y aurait alors jamais eu de galaxies, d'étoiles et encore moins de planètes, et de grands singes bipèdes se posant des questions...  

   [NDLR: souligné par nous!!!] 

Ce sont de très petites inhomogénéités dans l'Univers primordial qui ont fini par former toutes ces structures. Et ces inhomogénéités apparaissent dans le rayonnement du fond diffus, sous forme de très petites variations de température. La température moyenne de ce rayonnement vaut 2.735 kelvins, et les plus grosses fluctuations valent environ un dix millième de kelvin. 

  

  

Modèle de Bianchi de type VIIh

 

Ces fluctuations devraient être distribuées statistiquement de façon uniforme dans toutes les directions (on parle d'isotropie). 

Mais ni WMAP ni Planck n'ont réussi à démontrer la parfaite isotropie des fluctuations du CMB, au contraire. Leurs données sont cohérentes, il existe bel et bien une anisotropie aux grandes échelles angulaires, comme si il existait une direction privilégiée. 

  

Or, il existe des modèles dynamiques qui proposent une structure à la fois homogène, mais anisotrope. Ces modèles qui incluent une expansion anisotrope associée à une rotation globale sont appelés des modèles de Bianchi de type VIIh, d'après le mathématicien du 19ème siècle Luigi Bianchi qui a imaginé ces premiers modèles mathématiques. 

  

Dans un modèle de Bianchi de type VIIh, c'est comme si les photons du CMB se propagent le long de géodésiques qui seraient en rotation autour d'un axe de symétrie et décalés vers le rouge du fait d'une expansion additionnelle. On aurait alors affaire à l'addition d'un cisaillement et d'une vorticité des géodésiques. 

Appliqué au CMB, le modèle de Bianchi de type VIIh donne une structure extrêmement proche de la distribution observée par le satellite Planck (voir la comparaison des deux cartes ci-dessus). 

  

Lorsqu'on soustrait la composante anisotrope du Bianchi VIIh dans la carte du CMB de Planck, on retrouve une répartition tout à fait homogène et isotrope... 

Tout cela semble vraiment très séduisant, mais il y a un petit problème... Il se trouve que ce type de modèle n'est pas cohérent ni avec la théorie de l'inflation, ni avec les valeurs mesurées de la densité d'énergie de l'Univers, qui sont par ailleurs validées par les données de Planck. Alors que penser ?

Une certitude est qu'il faut très probablement abandonner le dogme de l'isotropie cosmologique. L'autre certitude est qu'il y a encore de nombreux points à creuser pour en connaître la nature et l'origine. Les données du CMB et les anomalies observées doivent en être le point d'entrée. La ressemblance troublante de la carte du modèle de Bianchi de type VIIh avec la carte de Planck n'est sans doute pas à prendre à la légère malgré les tensions qu'elle induit. C'est dans les tensions que peuvent jaillir de nouvelles idées. 

 [NDLR: souligné par nous!!!] 

 Sources : 

https://www.ca-se-passe-la-haut.fr/2013/09/lanisotropie-du-fond-diffus-cosmologique.html

 

http://sci.esa.int/planck/51559-hemispheric-asymmetry-and-cold-spot-in-the-cosmic-microwave-background/

 

En doc PDF:

https://ekladata.com/_S64h2PwoFdcn8h3bnMV0Oa3joA/Anisotropie-du-Fond-Diffus-Cosmologique.pdff

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1966

 

 

 1966

 

 

 

 

 

2023-2024:

 

L'ENTROPIE A GAZA

 

 Cinq différences essentielles entre l’époque de Marx et la nôtre: une suite "écologique" au débat!

 

 

 Cinq différences essentielles entre l’époque de Marx et la nôtre: une suite "écologique" au débat!

 

 

 

 

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