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En Avant, Marx!
13 février 2024

Internet et la Résistance: quelle utilisation possible? (...ou pas!)

 

 

 

 

 

 

  Cet article fait suite à deux autres tout récents sur le sujet du contrôle d'internet par le système actuel de domination de classe, inféodé au mondialisme banco-centraliste:

Internet peau de chagrin: rétrécissement à vue d'oeil - Encore faut-il ouvrir l'oeil!

http://cieldefrance.eklablog.com/internet-peau-de-chagrin-retrecissement-a-vue-d-oeil-encore-faut-il-ou-a215396043

 

Internet est-il "fini" comme moyen de Résistance et de liberté d'expression?

http://cieldefrance.eklablog.com/internet-est-il-fini-comme-moyen-de-resistance-et-de-liberte-d-express-a215399823

 

   Ces deux articles reprenaient donc les éléments essentiels du débat en cours sur VLR sur ce sujet important. Le camarade Do responsable de ce site VLR a donc jugé approprié de faire le point, dans un nouvel article, sur sa propre expérience, évidemment considérable, de blogueur, depuis un quart de siècle.

http://mai68.org/spip2/spip.php?article17575

 

Voici donc son article, avec la réponse

que nous lui avons proposée:

 

 


 

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Les moteurs de recherche et le contrôle d’internet

mardi 13 février 2024, par do (Date de rédaction antérieure : 12 février 2024).

http://mai68.org/spip/spip.php?article1095

https://www.youtube.com/watch?v=p5tyb98gCQ8

   https://i.ytimg.com/vi/DR1qnvMDh4w/maxresdefault.jpg

Le 11 septembre 2001 annonce l’internet 2.0

Scootle Royale - 8 octobre 2009 - Vidéo de 4’50

Cliquer ici ou sur l'image pour télécharger la vidéo

Très jolie chanson de Scootle Royale sur le 11 septembre 2001, sous forme de clip vidéo en Anglais, sous-titrée en français. Jolie musiques et belles images.

Elle dénonce aussi l’internet 2.0.

 


 
Bonjour à toutes et à tous,

Comme diverses personnes ont posté sur mon site des articles et commentaires qui parlent de la fin d’internet et des moteurs de recherche, je vais donner mon point de vue. Après tout, mon site à 25 ans, et je crois pouvoir dire que je sais un peu de quoi je parle.

Avant Google, il y avait plein de petits moteurs de recherche qui donnaient des résultats partiels et différents. Du coup, des profiteurs ont fabriqué un moteur de recherche spécial et payant, qu’on installait sur l’ordinateur comme une application, et qui donnait simultanément les résultats de presque tous les autres moteurs de recherche. Il y en avait quelques-uns de ce genre.

C’était bien, mais on n’avait pas envie de payer, donc ces moteurs de recherches ont été très vite craqués. Et à peu près tout le monde les utilisait "gratuitement". C’est alors que sont apparus Google et Yahoo qui obtenaient le même résultat aussi puissant que les moteurs payant. Mais ils étaient "gratuits", et nul besoin d’installer une application spéciale sur l’ordi. Un simple navigateur faisait l’affaire.

Tout d’abord, il vous faut savoir qu’au tout début de mon site internet, il suffisait de mettre "révolution" dans Google pour me trouver ; et, même, j’étais en première position sur la toute première page. Aujourd’hui, c’est loin d’être le cas. Je me souviens qu’un ami spécialiste d’internet et de programmation disait alors aux gens que si j’étais en première position dans Google, c’est parce que mon site était le meilleur concernant la révolution.

Petit à petit, j’ai glissé à la troisième position et au bout de quelques années, je n’étais plus qu’à la troisième page. J’ai noté un grand changement à l’arrivée de Sarkozy à la tête de l’État. Peu de temps après, je n’étais plus qu’à la fin vers les dernières pages. Il suffisait de le savoir. Avec Hollande, ce fut encore pire, car comme j’étais au milieu, si on me cherchait au début on ne me trouvait pas et si on me cherchait à la fin, on ne me trouvait pas non plus.

Maintenant, dans Google, même si on met le nom complet de mon site, « VIVE LA RÉVOLUTION », on a le plus grand mal à le trouver ; alors qu’au début le simple mot clef "révolution" me classait sur la première page, à la première ligne ! Je viens d’essayer avec Duckduckgo et avec Qwant. Avec "révolution", on ne me trouve pas. Par contre, avec "vive la révolution", même sans les guillemets, on me trouve sur la première page dans les deux cas. Sur à la troisième ligne sur Duckduckgo et carrément à la deuxième ligne avec Qwant.

 

                                       http://mai68.org/spip2/local/cache-vignettes/L500xH422/Duckduckgo_VLR-b496f.jpg

 

                                      http://mai68.org/spip2/local/cache-vignettes/L500xH324/Qwant_VLR-de074.jpg

                                                                      

 

Que s’est-il passé avec Google ? cette entreprise, au départ rémunérée par la publicité, puis par des clients qui voulaient figurer en tête, a-t-elle attiré le monde en faisant semblant d’être honnête ? puis, une fois ce travail accompli, une fois que tout un chacun allait sur Google, a-t-elle pu utiliser ce formidable outil qu’est un moteur de recherche pour modeler la pensée collective ? Ou bien, l’entreprise a-t-elle tout simplement été achetée par la CIA ? Probablement les deux.

J’ai raconté un historique de mon aventure avec Google. Maintenant, je vais raconter un autre historique. Celui de l’efficacité d’internet pour la subversion.

Lors du 11 septembre 2001, il y a donc déjà 23 ans, Internet a été très efficace pour dénoncer qu’il s’agissait d’une machination, que les "attentats terroristes" n’étaient qu’un spectacle mis en scène par la CIA. J’ai été, je crois le premier à le dénoncer. En tout cas un des premiers avec Roger Romain. Je l’ai fait dès le soir (juste après qu’un ami me rendant visite ce jour-là fut parti) sur l’indymédia de New York. Puis sur les autres indymedias. Puis sur mon site.

Voici ma page initiale sur le 11 septembre, publiée le Mercredi 12 septembre 2001 à 5h13 :

https://mai68.org/pages-speciales/911/911originel.htm

Ainsi que la traduction de cette page en anglais par les situationnistes de notbored :

https://www.notbored.org/reichstag-brule.html

C’est l’immédiateté de la dénonciation qui est efficace. Car elle pousse les gens à se poser des questions au lieu d’avaler goulument la propagande télévisuelle. Après coup, c’est trop tard !

Et voici ce que cette page était devenu quelques temps après :

https://mai68.org/pages-speciales/911/911.htm

Une autre étape importante, qui prouve qu’internet avait gardé toute son efficacité subversive encore en 2005, fut la campagne contre la Constitution Giscard lors du référendum de cette année. J’avais bien sûr pris une part très active à ce combat :

https://mai68.org/4.juste-avant-referendum.htm

Et encore en 2009 Internet avait gardé toute sa capacité subversive. En effet, cette année-là, le pouvoir avait prévu de nous faire un coup exactement comme avec le covid ; mais, à l’époque, le microbe ne s’appelait pas SARS-CoV-2, il s’appelait grippe A H1N1. Grâce à internet des activistes dont je faisais évidemment partie avaient pu empêcher l’affolement général et quasiment personne ne s’était vacciné. Et, bien sûr, il n’y avait eu aucune catastrophe… contrairement à ce qu’avait "prévu" le pouvoir.

Pour avoir une idée de ma participation à la dénonciation de l’entourloupe H1N1, vous pouvez cliquer ci-dessous :

http://mai68.org/spip/spip.php?page=recherche&recherche=H1N1

Malheureusement, en 2020, pour le spectacle du covid, le pouvoir contrôlait déjà suffisamment internet. Les activistes dont j’étais n’ont rien pu faire. Le pouvoir a fait ce qu’il a voulu : confinement, masques, vaccination obligatoire tout en faisant croire qu’elle ne l’était pas, etc. (Il voulait déjà faire tout ça avec le H1N1 de 2009, après la crise des subprimes de 2008 ; mais, il en avait été empêché grâce à internet)

Que s’est-il donc passé entre 2009 et 2020 pour qu’internet ne soit plus notre instrument mais celui du pouvoir ?

Les grands moteurs de recherche avaient déjà été achetés par les services secrets afin de favoriser certaines thèses plutôt que d’autres ; mais, malgré ça, le pouvoir ne pouvait toujours pas contrôler internet. Aussi, a-t-il inventé les réseaux "sociaux", et fait croire aux jeunes qu’internet se limitait à Facebook, Twitter, etc. De plus, "ils" ont acheté des "influenceurs".

C’est ainsi que le vrai internet est mort. Ou a été stérilisé, si vous préférez. Grâce aux réseaux "sociaux", j’ai vu la fréquence des visites de mon site passer progressivement de 3000 à 500 par jour. Et ça continue de baisser tout doucement. Il est vrai qu’avec une revue qui n’était distribuée qu’à 300 exemplaires, les situationnistes ont eu une influence énorme ; mais, ça ne me console pas : en 2020-2021, je n’ai rien pu faire d’efficace contre le spectacle du covid, et les rares activistes qui n’étaient pas tombés dans le piège non plus.

On ne pourra ressusciter internet, lui rendre sa subversivité, que s’il y a un boycott massif des réseaux "sociaux". Si les gens au lieu d’aller sur Facebook, twitter, instagram, tik tok, etc. tous contrôlés par les services secrets, vont visiter de vrais sites internet non contrôlés. Et si des moteurs de recherches comme Duckduckgo et Qwant ne se font pas acheter. Malheureusement, pour Duckduckgo l’argent prime déjà, puisque comme vous pouvez le constater sur les images que je vous ai montré, la première ligne de la première page est Amazon !

J’appelle à la constitution d’un moteur de recherche qui appartienne au prolétariat (au sens moderne et généralisé de ce mot).

Je me souviens aussi qu’au début, on pouvait envoyer d’un seul coup autant d’emails qu’on voulait. Maintenant, c’est très limité. Ou alors faut payer très cher. Il serait nécessaire aussi qu’au moins un serveur d’emails appartienne au prolétariat pour faire disparaître cette limite.

Bien à vous,
do
http://mai68.org

Voici quelques article postés sur mai68.org qui parlent d’internet. les commentaires peuvent aussi avoir leur utilité.

Internet, c’est fini ! (vidéo_19’58’’) :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article17537

Censure des moteurs de recherche : attention aux apparences !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article17565

Facebook

http://mai68.org/spip2/spip.php?article1341

Salut à toutes et à tous,

Je boycotte Twitter et Facebook qui sont totalement contrôlés par la CIA. Comme "ils" n’ont pas pu contrôler internet, "ils" ont inventé Facebook et Twitter, et "ils" ont fait croire aux jeunes qu’internet se limitait à Facebook et Twitter.

Facebook est conçu par des spécialistes pour être super-confortable et attirant. C’est LA solution de facilité. Mais ça se paie très cher. "Ils" savent tout en direct et pratiquent la censure. Par exemple, pour ce qui s’est passé à Millas, il y a eu plein de photos de barrières qui dysfonctionnaient, "ils" en ont censuré la majorité :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article1081

Je boycotte Facebook. Cela ne signifie pas que je souhaite qu’on ne mette pas de liens vers mon site sur Facebook, au contraire. Je boycotte Facebook cela signifie que personnellement, je ne m’en sers pas.

Bien à vous,
do
28 février 2018
http://mai68.org/spip2

Facebook est une sacrée arnaque - analyse du contrat Facebook :

http://mai68.org/spip/spip.php?article2652

Facebook appartient à la CIA - Facebook is a CIA Databank :

http://mai68.org/spip/spip.php?article3467

Censure d’internet - 27 décembre 2016 - La chasse aux fausses nouvelles tuera-t-elle enfin Facebook ? (vidéo 2’43) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article11872

 

Répondre

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Réponse proposée:

 

Prévisualisation

    • Les moteurs de recherche et le contrôle d’internet par Luniterre

       

      Bonjour, camarade !

       Mon expérience de blogueur est assez différente de la tienne, et également plus courte et plus récente, en termes de débuts sur le net.

      Quand j’ai commencé TML, il y a donc un peu plus de dix ans, le but était de regrouper quelques ML sur la base d’une action anti-impérialiste. Je pensais qu’il suffirait de quelques dizaines de lecteurs débattant positivement du sujet pour redémarrer une dynamique de groupe, comme cela avait été possible dans les années 70, mais donc surtout au début, en fait…

      Mais le temps ayant passé et le niveau de conscience ayant déjà quelque peu régressé, le nombre de lecteurs n’était finalement pas le problème, mais bien plutôt la motivation réelle à débattre constructivement et à agir.
      J’ai simplement constaté au fil des ans et des embryons de débats que les fondamentaux les plus élémentaires du ML étaient en fait inconnus de ceux-là même qui s’en réclamaient pourtant encore. Un blog ML s’adressant à un supposé lectorat ML qui en fait n’existait plus n’ayant par définition pas de fonction réelle, je l’ai donc fermé.

      Alors que la plupart des textes fondamentaux ML sont encore accessibles sur le net. Ce n’est donc pas le net l’obstacle, dans ce cas.

      TML, de plus, était encore relativement bien référencé à ses débuts sur le net, même si ça c’est nettement dégradé par la suite.

      La dégradation de l’accès aux sites « antisystèmes », qu’ils soient de gauche ou de droite, est un fait notable, mais il n’explique donc pas à lui tout seul le recul du niveau de conscience ni celui de la capacité de mobilisation des militants et des masses.

      En fait, et comme tu nous le montres toi-même, qui cherche trouve, encore, actuellement, même si c’est de plus en plus difficile. Par comparaison, je n’ai jamais fait la moindre publicité, genre mailing, pour mon blog principal actuel, et pourtant la fréquentation, même si évidemment trop faible à mon goût, est néanmoins, au fil des jours, équivalente ou supérieure à celle de TML, pour lequel j’envoyais assez couramment jusqu’à 2000 mails par semaine.

      Mais dans un cas comme dans l’autre, on voit bien que la motivation du lecteur ne dépasse pas la curiosité, au demeurant fort saine, de simplement quérir une info atypique par rapport au « mainstream ». La question n’est donc pas tant celle du nombre que de la capacité de mobilisation concrète du lectorat. Il est clair que le nombre de lecteurs, dans un cas comme dans l’autre, est suffisant pour amorcer une dynamique de groupe, à condition de passer de la simple curiosité à la volonté d’agir.

      En fin de compte je constate que le net est un piège « soft » où chacun trouve sa petite niche à partir de laquelle aboyer plus ou moins fort sur le net mais sans jamais arriver à rompre la chaîne qui l’empêche de la quitter pour passer à l’action.

      Jamais ou très rarement, et de façon inefficace, assez vite, comme on l’a vu avec les Gilets Jaunes.

      La mobilisation actuelle pour Gaza est évidemment très courageuse mais reste faible pour un pays qui compte une importante population d’origine maghrébine et orientale, la plus importante en Europe, même, en proportion de la population globale.

      Historiquement, la plupart des organisations politiques qui existaient avant l’expansion du net on survécu en « s’adaptant » mais aucune n’y a trouvé un réel regain, bien au contraire : au fil des ans, ce fut plutôt un enterrement de première classe ! C’est clairement l’un des effets de l’entropie de l’info sur le net. Une entropie qui vaut aussi pour celles créées plus récemment.

      Le contrôle d’internet n’est donc pas le seul facteur de l’échec des luttes, même s’il y contribue fortement. Il reste important de soutenir un combat comme celui de Momotchi, mais en fin de compte je ne pense pas qu’il soit déterminant par lui-même. Ce n’est donc pas tant la « reconquête » du net qui importe, à cette occasion, même si elle a évidemment son importance, que la prise de conscience, précisément, de la nécessité de sortir du piège du net.

      Il ne suffit pas de pouvoir proclamer sur le net « les carottes sont cuites » pour qu’elles le soient réellement.

      Si la voix de la France Libre a réussi à avoir une telle portée historique, c’est bien parce qu’elle est devenue l’écho d’une Résistance de terrain tout à fait endogène et qui se constituait sur place, localement, ses propres moyens de communication, avec sa presse clandestine artisanale.

      Comme j’ai déjà tenté de l’expliquer dans mes posts précédents sur le sujet (*), la censure en « demi-teinte » actuellement pratiquée sur le net est probablement une arme plus efficace qu’une censure brutale et absolue, en laissant les intervenants divisés s’épuiser à tenter d’y occuper chacun un peu plus d’espace, alors qu’il faudrait plutôt, me semble-t-il donc, chercher à en sortir pour s’unir et occuper bien davantage le terrain réel des luttes.

      Cela ne passe pas d’abord par une nouvelle entreprise internautique mais par une reprise de la pratique des réseaux de terrain liés directement entre eux par la pratique d’une communication directe avec la population des quartiers et des campagnes, sur la base, donc, d’une presse papier clandestine et artisanale, échappant par définition à toute censure, et donc tout à fait selon le modèle historique de la Résistance antinazie.

      En l’état actuel de l’évolution sociale il nous reste encore une petite marge pour construire notre expérience dans ce domaine sans encore risquer trop de casse. Autant commencer tout de suite, donc, et rebâtir notre utilisation du net en fonction et en complément, comme un écho élargi de nos luttes de terrain, avec une réelle portée, et non comme le préalable abstrait et illusoire de prétentions idéologiques chimériques et le plus souvent passéistes, en fait, au mauvais sens du terme, celui des idéologies sclérosées du XXe siècle.

      Dans le cas de TML le côté positif d’avoir tenté de revisiter les fondamentaux à la lumière de l’évolution réelle de la société et des forces productives au XXIe siècle a donc été précisément de prendre la mesure du décalage entre les idéologies encore en cours dans le petit monde militant et la réalité sur le terrain.

      Et c’est bien sur le terrain que ce décalage pourra éventuellement être comblé, et non pas sur le net.

      En conclusion, s’il me semble important de rester solidaires du combat de Momotchi, voire même de l’amplifier, si possible, l’essentiel est d’abord d’en faire l’occasion d’une prise de conscience de la nécessité de reconstruire une Résistance populaire de terrain réellement digne de ce nom, avec les moyens qui lui sont propres, et non pas essentiellement sur le net.

      La prise de conscience utile, à l’occasion du combat de Momotchi, est donc que la solution, pour la Résistance, ne se trouve pas sur le net, mais sur le terrain.

      La Résistance ne méritera vraiment son nom que lorsqu’elle sortira du net, de l’illusion, de la société du spectacle.

      Luniterre

      ************

      (* http://mai68.org/spip2/spip.php?article17537#forum14259

      http://mai68.org/spip2/spip.php?article17565#forum14261 )

      ********************

      Pour mémoire, concernant la fermeture de TML (Mai 2021) :

      https://mai68.org/spip2/IMG/pdf/LA-FERMETURE-DU-BLOG-TML.pdf

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http://cieldefrance.eklablog.com/internet-et-la-resistance-quelle-utilisation-possible-ou-pas-a215406715

 

 Internet est-il "fini" comme moyen de Résistance et de liberté d'expression?

 

 

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